La compagnie elle a passé un camp d’enfer!
Résumer ces 15 jours est assez difficile (étant donné que c’était de la pure foliiiiie), mais je vais faire mon possible promis.
Le 1er août commençait enfin le camp après un pré camp assez… Fatiguant? Plusieurs chargements, une nuit dans le froid, un sanglier et des frelons moi j’ai quand même trouvé ça rude! Enfin bref, on était quand même d’attaque pour construire et ça s’est plutôt bien passé, le 2 tout était fini!
Autant les constructions m’ont parues longues, autant le début du camp est passé à une folle allure : qualis, totems, jeux, dernière des marches, soirée casino… Et on était déjà le 6! Presque la moitié du camp donc le moment tant attendu (…) du hike était arrivé. Il fallait qu’on prépare un sac pour 3 jours parce que SURPRISE! On faisait d’abord escale chez les scouts (qui ont d’ailleurs une vision très différente des constructions que nous, mais bon) pour le 7 partir en hike et revenir le 8 au camp. Après ces 3 supers journées crevantes (décidément, physiquement le camp c’était dur), on avait qu’une envie c’était de se reposer et c’est exactement ce qu’on a fait puisque le lendemain c’était journée réflexion et promesses. Les jours suivants sont passés encore plus vite que le début du camp; concours cuisine (big up aux koalas et notre chanson de fou), miss crado (et tout le monde sait qu’on adore ça chez les guides), visite des lutins, jeu guides contre chefs (on vous battra la prochaine fois) et la fin du camp et les déconstructions s’annonçaient déjà…
Au final le nom des journées et l’ordre, c’est pas vraiment ce qui m’a le plus marquées pendant le camp (ça m’a mis 3h pour me souvenir en fait), mais plus les soirées pyjamas, les veillées où on chante jamais juste ou avec le bon rythme (désolée Agouti), les soirées papotes sous les pilotis, les barakis d’Auby (ça je préférerais ne pas m’en rappeler, les vrais savent que j’ai eu les boules), l’ambiance toujours au top ou encore les milliers d’autres trucs qui ont fait de ce camp un truc de malaaaades!
Un grand merci aux 24 autres guides que moi d’être aussi dingues, aux chefs d’être aussi géniaux et aux intendants d’avoir été aussi originaux que leurs plats (c’est positif promis)!
Voilà je retourne à ma déprime post-camp, cette année c’est à moi qu’on peut dire « bon vent » (la disparition de mon appareil marque ma disparition des guides, c’est cool) et c’est sûr, la compagnie elle va me manquer!
Ouistiti Sirocco (et ses millions de parenthèses)